Candy. Hiii"

Enfin une autre étudiante en théâtre! <3
Bienvenuuuuue! =)

{. Histoire

>>14 Novembre. Maison des McLane.

Bon Anniversaire Taylor!
Merci Candy. Viens rentre, Andy & October sont déjà arrivés.
Super! Tiens, ton cadeau.
Oh, Merci! Fallais pas.

La petite Candice pénétra dans la maison suivit de Taylor et rejoignèrent les deux enfants assis dans le salon. Quelques enfants devaient encore arrivés. Pendant ce temps, ils jouaient au chat et rigolaient. Quand les autres furent arrivés, ils s'asseyèrent tous autour de la table et dégustèrent le gâteau qu'avait préparé la mère de Taylor. Taylor, lui, ouvrait ses cadeaux devant les yeux des autres enfants. Quand ils eurent finis, tout le monde sortit dans le jardin et ils reflechirent à quel jeu ils pouraient jouer. Les enfants décidèrent alors de jouer à cache cache.
Andy fut choisi pour compter et Candice et les autres coururent se cacher dans la maison. Elle courait dans un couloir à la recherche d'une bonne cachette, elle ouvrait chacune des portes mais ne trouvait pas. Non, tout au bout du couloir, une porte, dernière chance de pouvoir se cacher.

J'ARRIVE.

Vite, il fallait qu'elle se cache. Elle ouvrit la porte à la volée et la referma le plus vite possible. Elle se trouvait dans un placard minuscule. De loin, elle entendit les bruits de pas qui s'avancaient peu à peu vers elle. Mais ces bruits s'éttoufèrent, Taylor n'avait trouvé personne. Candice regarda plus attentivement ce placard, il y avait des vêtements mis en piles et des porte manteaux accrochés à une barre. Cela devait faire maintenant un quart d'heure qu'elle était cachée. Elle décida de ressortir et d'aller voir si le jeu était finis ou non. Mais quand elle voulut ouvrir la porte, elle refusait de s'ouvrir. La panique survint alors pour Candy. Elle tira de plus belle sur la porte mais il lui fut impossible de l'ouvrir. Elle se mit alors à crier, pourvus qu'on l'entende. Mais il n'y avait personne. Des larmes perlèrent sur son visage et sa respiration était saccadée. Toujours personne. La panique était de plus en plus grande et elle n'arrivait presque plus à respirer. Elle criait le plus fort possible. Elle se sentait partir, ces yeux se fermaient peu à peu. Ses mains lachèrent la poignée et elle tomba inconsciente parmis les vêtements.

Le blanc. Ces yeux se rouvrirent doucement. Où était-elle? Elle porta ses mains à ses yeux et les frotta. Elle était dans un lit blanc, dans une chambre blanche. Quelques personnes se trouvaient à ses côtés. Parmis elle, sa mère, Taylor, Andy & October. Sa mère la pris alors dans ses bras et la serra fort.

Maman.
Oh, ma chérie!
J'ai eu tellement peur.
Nous aussi on a eu peur, Andy, October & Moi. On t'as cherché partout et pas moyen de te trouver.Je veux rentrer à la maison.
Ne t'inquiètes pas, on va rentrer.
Tout de suite?
Tout de suite, ma chérie.

Candice & sa mère rentrèrent à la maison une heure plus tard. Son père les attendait, inquièt. Et ils passèrent la soirée ensemble, devant la télé.

>>22 Avril. Maison des Matthews.

Candice! Descend s'il te plaît.
J'arrive M'man.

On entendit le bruit de pas précipités dans l'escalier et quelques minutes plus tard, une petite fille blonde arrive dans le salon où son père et sa mère se trouvent déjà. Aurore, sa mère, lui fait signe de s'assoir sur une chaise devant eux. Elle s'execute. Après un long silence, Aurore reprit la parole, mais d'une voix hésitante. Elle lance un regard à son mari et reprend donc.

Tu sais, il faut que je parte. Nous en avions déjà parlé il y a quelques jours. Et bien je dois y aller aujourd'hui.
Mais... Tu ne m'as même pas dit où tu allais.
Je ne peux pas te le dire. Mais ne t'inquiète pas, tout ira bien.
Non, ça n'ira pas, et moi? Tu y as pensé à moi?
Bien sûr que oui, mais...
Non, tu n'y as pas pensé, sinon, tu m'aurais dit où tu allais. Maman, s'il te plaît!
Bon et bien ...d'accord. De toute façon, ça ne te serais pas rester secret à vie. J'ai une grave maladie qui me ronge de l'intérieur. Je dois donc partir. Ils ne peuvent rien faire, ils n'ont pas d'antidote.
... Quoi?... Non...
Candy, attends!

Mais c'était trop tard, la jeune fille était déjà partie en courant. Elle passa dans le couloir et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle l'ouvrit, sortit puis claqua la porte. Rien que de savoir qu'on ne pouvait rien faire pour sa mère la mettait hors d'elle même. Candice continua à courir jusqu'à arriver dans son endroit préféré: La plage. Là, elle s'asseya dans le sable chaud et se mit à pleurer. Pourquoi lui avait-on caché? Pourquoi ne lui avait-on pas dit que sa mère était contrainte à mourir sans qu'on ne puisse rien faire? Sa mère était pour elle la personne la plus importante pour elle, c'était elle qui la comprenait quand elle lui parlait de ses problèmes, elle aussi qui trouvait les mots pour redonner le sourire à Candice. C'était même plus qu'une mère. Elle passait son temps à rire avec elle, et elle faisait du shopping ensemble. Candy travaillait dur au collège pour réussir son avenir et montrer à sa mère qu'elle était capable d'y arriver. Mais tout ça allait disparaître, toutes ces journées merveilleuses qu'elle avait passée avec sa mère allaient s'effacer.
Tout l'après midi passa à grande vitesse et Candy ne se rendait même plus compte des heures qui s'écoulaient. Quand elle reprit conscience, le soleil n'était presque plus là. Elle se leva alors doucement et se remit en marche. Elle arriva devant la porte de la maison et attendit quelques instants avant de sonner. Son père lui ouvrit et elle se réfugia dans sa chambre, ne passant pas par la cuisine pour manger. Elle savait que sa mère devait déjà être à l'hopital à l'heure qu'il était. Après avoir passé son pyjama, elle s'engouffra dans ses couvertures et s'endormit en très peu de temps.

Quelques semaines plus tard, l'état de sa mère s'aggrava et elle mourut devant les yeux de Candy, après lui avoir prononcait une dernière phrase: "Ceux qui bossent dur sont toujours récompensés."

>>09 Août. Maison des Matthews. 5ans plus tard.

Papa?
Oui, Candice?
J'aimerais te parler si tu n'es pas occupé. Assis toi s'il te plaît.
Je t'écoute.
Voilà, je veux partir au Japon. Tu sais que c'est mon rêve & j'ai trouvé un lycée très réputé. Je vais pouvoir étudié la chose que j'aime le plus, le théatre.
Je veux que tu réussisses ton avenir, et ça tu le sais déjà. C'est ce qu'aurait voulu ta mère.
Merci papa, je t'aime.
Moi aussi, Candy.
Et ne t'inquiètes pas, je t'appellerai et je t'écrirais pour te donner de mes nouvelles.

Candice se leva, embrassa son père sur la joue et sortit de la cuisine en lui souriant. Depuis la mort de sa mère, son père l'avait beaucoup aidé et l'avais consolé quand elle pleurait. Et ça, elle lui devait beaucoup. Il était là dans tous les moments et comme sa mère, il savait trouver les mots pour la faire sourir. Et il avait réussi. Candy avait bien grandit depuis ce jour, et bien changé aussi. Autant en caractère qu'en physique. De la petite fille timide et fragile, elle était devenue une jeune adolescente sociable et forte. Son physique avait tellement changé, son corps allongé, son corps mincit, ses cheveux étaient maintenant longs et son visage poupin s'était allongé. La seule chose qui n'avait pas changé, c'était la couleur de ses cheveux, le seul souvenir qu'elle puisse avoir de sa mère, ses cheveux blonds.

Quelques jours plus tard, ses valises étaient prêtes et son billet d'avion tronait sur son lit. Candice, elle, se trouvait devant la fenêtre, l'esprit dans les étoiles. Le soleil brillait et la chaleur était au rendez vous. Elle se retourna et empoigna sa valise d'une main et son billet de l'autre. Elle descendit l'escalier en jetant un dernier regard à sa chambre où elle avait passé son enfance et arriva dans le couloir. Son père l'attendait devant la porte d'entrée. Il lui prit la valise et alla la mettre dans le coffre de la voiture. Candice s'installa à l'avant et ils se mirent en route pour l'aréoport. Le silence régna pendant tout le voyage. Quand ils furent arrivés, elle lui lança une sourire et il l'accompagna jusqu'à l'intérieur. Candy lacha la valise et prit son père dans ses bras.

Tu vas me manquer.
Toi aussi mon ange. Amuses toi bien. Tu me le promet?
Je te le promet.
Et ne fais pas de bêtises.
Papa!

Tous les deux se mirent à rire. Il était temps pour Candice de prendre l'avion. Ils se firent un dernier sourire et elle partit. Elle passa dans un couloir et arriva dans l'avion. Ca allait être pour elle une nouvelle expérience: Le japon.