Hoshi

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Carte d'identité

Nom : Hibasaki
Prénom : Hoshi
Age : 17 ans
Orientation Sexuelle : Hétéro'
Section : Photographie
Emploi : Étudiant
Poste Vacant : [ ] Oui [X] Non

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Et si on faisait plus ample connaissance ?

Caractère :

Tout d'abord, veuillez noter que ce qu'a put vivre Hoshi pendant sa vie l'a énormément fait évoluer. Il est avant tout une personne très simple, un peu idiot sur les bords, lorsqu'on le rencontre, on a souvent envie de le...taquiner. Probablement parce qu'il ne le prend jamais mal. Il était donc en quelque sorte le souffre-douleur de sa classe et celui de sa famille. Du moins, le temps qu'il vivait avec Rei, Toma, sa soeur et sa mère. Il n'est pas nécessairement doué en cours, son seul talent est la photographie. Talent qu'il n'a pas développé pour son propre plaisir mais qu'il commence à bien apprécier. Hoshi ne cache également aucune méchanceté. Étant un adolescent comme les autres, il lui arrive de faire quelques bêtises, mais il est tout de même considérer comme étant un enfant très sage, un peu surprotéger. Cet effet vient sans doute du fait que dans la famille, Toma est un vrai cauchemar. Il déplace tant d'air à lui-même qu'il ne donne aucun espace pour Hoshi. Même sa soeur Jenny en déplace un peu trop.

Phobie(s) :

Hoshi n'a jamais réellement eut de phobies. Certes, il n'aime pas les araignée, ni les hauters mais ce ne sont que des peurs très banales. La seule grande phobie qu'il a est sans doute de finir ses jours seuls. Depuis qu'il a quitté le cocon familial pour retrouvé la personne qui lui manque le plus à ce moment, il se sent plutôt seul, une impression qu'il n'avait jamais eut auparavant. Donc de finir ses jours sans une femme et plusieurs enfants et sans doute la chose qui l'effrais le plus.

Histoire :

Journal d’une mère

31 Octobre 1990

Combien de temps déjà cela fait-il que je tente d'offrir à Satoshi un petit garçon? Trop longtemps déjà... Nous avions même, pendant un certain temps, commencer à désespéré. Pourtant je faisais de mon mieux, depuis deux ans déjà que nous essayions. Et puis, depuis que Jenny est naît, je sens mon mari de plus en plus distant. Il aurait tant...Tant voulu avoir un garçon et je n'avais pu lui offrir que cette douce et mignonne petite fille. Mais voilà, le grand jour était enfin arrivé. Ah, comme il était beau. En santé. Petit mais bien vivant. Je voudrais le nommé Hoshi. Mon prénom étant Otaru, et celui de mon mari Satoshi, je trouvais cette idée parfaite. D'autant plus que je le voyais comme la petite étoile qui ferait briller notre amour à nouveau. Malgré tout, Satoshi refusa. Hoshi était pourtant un prénom unisexe mais il refusait de le lui donné. Il préférait un prénom plus viril, et américain; Alex. Je le détestais moi. Un enfant aussi délicat ne pouvait porter ce nom. De toute façon, Jenny tranche. Elle avait déjà commencé à appeler son petit frère Hoshi, et refusait de l'appeler autrement. Alors il en serait ainsi.

« Hoshi. Hoshi. Mon Hoshi »

Elle ne cessait de fredonner ces mots tout en caressant la joue du bébé dormant dans mes bras. Elle l'adorait déjà, et me promettait même de le protéger et de l'aimer comme si elle était sa maman. Elle n'avait que deux ans et pourtant était pleine de tant de promesses... J'espérais simplement que Satoshi adhèrerait à ce prénom, après tout ,ce qui comptait n'était-il pas tout simplement qu'il ait un fils?

24 Décembre 1995

Notre petite étoile vient d'atteindre ses cinq ans. Il n'est pas très grand, il est le plus petite de sa classe. Mais avec le temps il grandira, après tout, Satoshi est si grand. Ce qui me préoccupe toutefois est le fait qu'il soit toujours aussi distant avec moi. Je ne comprends pas, je lui ai offert un fils pourtant, mais il me reproche de ne pas l'élever comme il se doit. Je n'y peux rien, je fais pourtant de mon mieux. Et ma pauvre Jenny... C'est à peine si son père veut bien lui adresser la parole. Elle ne semble toutefois pas s'en soucier. D'ailleurs, elle a bien tenu sa promesse. Elle prend soin de son petit frère presque plus que moi. Le seul problème et que peut-être le voit-elle trop comme une poupée avec laquelle elle peut tout faire. C'est à peine si elle ne le promène pas encore dans sa poussette. Mais maintenant qu'elle est plus habile, elle s'amuse à l'habiller de ses robes et à le peinturlurer à l'aide de mon maquillage. Hoshi ne s'en plaint pas. L'amour de sa soeur pour lui est réciproque et il semble même y prendre plaisir.

Mais voilà, en cette veille de Noel, rien ne se passa comme prévu. J'avais acheté les cadeaux des enfants, préparé un vrai festin et décoré toute la maison. Les enfants ne tenaient pas en place. J'entendais leurs petits pas au deuxième étage, comme s'ils courraient. Quand Satoshi arriva du travail, je demandai aux enfants de descendre. Ah, je ne m'en serais jamais douté! Lorsque Hoshi descendit, ce fut la catastrophe. Il portait l'une des robes de sa soeur comme si c'était la chose la plus normale et s'approcha de son père pour venir l'embrasser et lui souhaiter un joyeux Noel. Erreur... Satoshi s'énerva et lui ordonna d'aller mettre autre chose, ce que Hoshi s'empressa de faire, suivit de près par sa soeur qui ne manqua pas de lancer un regard noir à son père

Si ça avait pu s'arrêter là... Lorsque les enfants déballèrent leurs présents, Satoshi observait faire son fils avec un sourire en coin, persuadé que je lui aurais acheté un kit de menuisier en plastique, ou encore un ensemble de petites autos. Erreur... J'avais suivit la liste des cadeaux que mon fils m’avait demandé; Kit pour faire des bijoux, la cassette vidéo de Cendrillon... Je ne m'étais pas douté une seconde que Satoshi le prendrait ainsi. Et le Père Noel repartit ce soir là en

laissant la famille Hibasaki en morceau.

10 Mai 2000

Voilà cinq ans que j'élève à moi seule mes deux enfants. Cette veille de Noel là, Satoshi nous a quitté. Oh, il a bien tenté d'emmené Hoshi avec lui, mais après un procès qui m'en a demandé plus que je ne l'aurais crut, j'ai gagné la garde de mon fils plus une pension. Ce n'était pas suffisant, mais depuis que j'ai rencontré Rei, tout s'est passé comme dans un conte de fées. Hoshi avait 10 ans, Jenny en avait 12. Rei avait un fils du même âge que Jenny. Au départ j'étais inquiète de ma relation avec Rei, je ne voulais pas faire de tort aux enfants qui n'avaient désormais plus de père, je ne voulais pas lui imposer cet homme. Mais ils semblèrent bien le prendre et s'entendait bien avec son fils, Toma.

Hoshi avait également changé. Certes, il n'était pas e jeune homme viril et tout puissant que Satoshi aurait sans doute voulu avoir mais il était mignon, délicat, un peu idiot mais adorable. Et sa soeur l'était également, ils étaient tous deux inséparables. Et même depuis que nous avions emménagé chez Rei, rien ne semblait avoir changé. Ou presque, si encore une fois j'avais su....

31 Octobre 2006

Ma petite étoile vient d'atteindre ses 16 ans! Je suis si fière de lui. Et tout va si bien ici... Au départ, j'avais peur pour nos enfants, Jenny et Toma. Ils avaient le même âge et n'étaient pas vraiment frère et soeur, j'avais crains que les hormones pouvaient causer des dégats. Mais ils avaient 18 ans maintenant et aucun incident ne s'était produit. Jenny a même un copain, quoi que Toma n'ait jamais eut la moindre copine. Quand j'y pense, il n'a jamais parlé de filles et n'en a jamais emmené à la maison... Parfois je doute même de son orientation sexuelle. Après tout, il est beau garçon, doué en musique. Je croyais que les jeunes filles aimaient ce genre d'homme. Enfin, tant qu'il ne déteint pas sur mon fils, je tiens à le voir se marier un jour.

Pour ses 16 ans, nous lui avons permis d'inviter quelques amis. Enfin, quelques... Il ne s'est pas gêné pour en inviter un peu plus que prévu. Des amis à lui, de Toma, et de sa soeur. Il y avait de jeunes adolescents partout dans la maison. Nous lui avions toutefois promis de ne pas y rester, pour leur donner un peu de liberté. Tant que la maison ne prend pas en feu, que Rei avait dit.

Mais voilà, il se faisait tard, plus d'une heure du matin. Il ne devait plus y rester beaucoup de personnes. Mais quelle surprise lorsque nous arrivâmes et que la fête ne semblait même pas sur le point de se terminer ! Des jeunes défoncés étaient allongés un peu partout dans le salon, d'autre consommait toujours dans d'autres pièces. Je cherchais des yeux nos enfants. Aucune trace de Jenny, pas plus que de Toma et Hoshi. Je montai au deuxième étage pour découvrir un jeune couple dans notre lit. Dégoûtée, je me précipitai vers la chambre de mon fils, en espérant qu'il s'y trouve. Oh comme je regrettais d'avoir donner tant de liberté à ce jeune homme ! Pourtant ce n'était pas son genre... Il était si sage, presque parfait. Toma y était sans doute pour quelque chose, c'était bien son genre après tout.

Comme il n'y avait aucune trace d'Hoshi dans sa chambre, je me dirigeai vers celle de Toma. Je n'aurais jamais du. Ce que j'y découvris, je voudrais tant l'oublier et pourtant je sais que je n'y parviendrai jamais. Mon fils et celui de Rei dans une position des plus choquantes. Probablement que toute bonne mère aurait refermé la porte et attendu encore un peu avant de demander des explications. Pas moi. Je m'étais précipité sur le fils de l'homme de ma vie, le tirant par les cheveux pour l'éloigner de mon fils qui ne semblait même pas réaliser ce qui se passait. Le pauvre, il avait bu. Et Toma lui tentait de se couvrir en bredouillant quelque chose que je n'écoutais même pas de toute façon. Je lui en voulais, et je lui en voudrais toujours....

Fin du journal d’une mère

Ô biienvenue, beau jeune homme *O*

Welcome! =)

Merci. :]

Bienvenue & Bonne continuation pour ta fiche n__n

Merci. x3

Désolé, je poste la suite de mon histoire à la suite de ce message parce qu'elle est trop longue. @_@

Histoire (suite) :

Qui je suis? Hoshi, 17 ans. Mon père nous a quitté lorsque je n'avais que 5 ans. Quand j'en eus 10, ma mère refit sa vie avec un autre homme, Rei. Il avait un fils, Toma. J'adorais beaucoup cette famille, je n'étais plus le seul garçon, je m'y sentais bien. J'aimais toujours autant ma soeur, d'ailleurs, elle et moi avons une excellente complicité. Je la considère presque comme une mère pour moi, elle m'a tout appris. Mais voilà, en grandissant, on devient un peu perturbé. Je l'étais. J'avais dans l'idée que Jenny et Toma se marieraient, allez savoir pourquoi. Toma était aussi attentionné avec moi que l'était ma soeur, je me disais qu'il ne pourrait y avoir de couple plus parfait. Mais le destin en décida autrement. Ma soeur rencontra un jeune homme, et Toma lui, personne. D'ailleurs, il ne semblait avoir aucun intérêt pour ce sentiment; l'amour charnel. De mon côté, je trouvais plusieurs filles de ma classe plutôt mignonne, mais je suis un idiot, je n'avais aucune chance.

Et puis la fête de mes 16 ans arriva. J'invitai toute ma classe, c'était mon soir de chance, peut-être arriverais-je à marquer un point avec Nao, la fille qui venait tout juste de me taper dans l'oeil à ce moment là. Elle était belle, un peu plus grand que moi mais j'allais grandir encore de toute façon. Et puis ce n'était pas grave, elle était si jolie... Tout avait bien débuté entre nous, j'aurais peut-être même pu l'emmener dans ma chambre et...Enfin vous savez. Si seulement j'en avais eut le courage, peut-être l'aurais-je fait. Et peut-être aussi si Toma n'était pas venu s'en mêler. C'est de sa faute après tout si je m'étais retrouvé dans cet état; complètement saoul. Il prenait grand soin de me faire tout essayer. Il savait pourtant que le mélange d'alcool comme ça me mettrait probablement K.O. Et moi je voulais impressionner ma belle Nao, je buvais tout ce qu'on m'offrait.

Mais comme de fait, bientôt je me retrouvai affalé sur le canapé du salon, à moitié endormie, contre l’épaule de quelqu’un. La belle Nao, j’osais l’espérer. Je sentais même ses doigts dans mes cheveux, qui venaient parfois chatouiller mon oreille. Combien de temps passai-je ainsi contre son épaule ? Le temps de désaouler un peu au moins. D’ailleurs, je fus réveillé en sentant ses douces lèvres de poser sur ma joue qui me tira un sourire ravi. Lentement j’ouvris les yeux, la cherchant du regard. Elle n’était pas là, je ne la voyais pas. La seule personne sur qui je tombai fut Toma.

« Toma !? »

Oh oui, j’étais surpris, beaucoup. Et pourtant, en même temps, je ressentais une certaine joie à le retrouver là, et d’en être si près. Il n’avait pas besoin de dire quoi que ce soit, il me tenait dans la paume de sa main. Peut-être était-ce un effet de l’alcool ? Même aujourd’hui je ne saurais vous le dire. Tout ce que je me rappelle, c’est d’avoir complètement oublié ma belle Nao et de m’être laissé entraîné au deuxième étage. Nous n’avions pas besoin d’échanger la moindre parole, nous savions tous deux comment nous voulions terminer cette soirée. D’ailleurs, ce fut ainsi qu’elle se termina. Il était tard, maman allait bientôt rentré je le savais. Jenny, elle, était partit avec son copain depuis un moment déjà, et personne ne nous avait vu monter au deuxième. C’est dans sa chambre que tout se passa, et c’était…parfait. J’avais l’impression de partager un monde secret avec Toma, de laissé sortir quelque chose que j’avais longtemps laissé emprisonner. Je flottais sur un petit nuage.

Cependant, j’en retombai rapidement lorsque Toma disparut brusquement de mon champ de vision. Je le cherchai du regard avant de tomber sur ma mère. Je ne réalisais pas ce qui se passait, tout ce que je voulais, c’était retrouvé ses bras à lui. Qui l’eut crut ? Je n’ose pas vous dire la suite. De toute façon, j’ai manqué plusieurs morceaux… Après la visite de ma mère, je me retrouvai seul, Toma n’était même pas resté avec moi. Je lui en voulais de m’avoir laissé seul mais j’étais beaucoup trop épuisé pour protester maintenant, et c’est ainsi que je sombrai dans un profond sommeil.

Le lendemain, je retrouvai ses valises sur le pas de la porte. J’avais un mal de tête épouvantable, et quelques souvenirs embrumés de la veille. En voyant l’air qu’affichait ma mère, je devinai immédiatement que quelque chose n’allait pas. Elle ne m’en voulait pas, je le sentais bien. J’étais sa petite étoile, ce qui avait pu se passer la veille, j’en étais la victime. Elle ne comprenait pas… D’ailleurs, malgré mon mal de tête, j’eux une rapidité de réaction qui me surpris moi-même. Après réalisation, je me précipitai à nouveau au deuxième et retrouvai Toma qui terminait de rassembler ses biens. Je n’avais pas besoin de lui demander des explications, j’étais idiot, mais pas à ce point. Quand il me vit, il sembla rester pétrifié sur place. Mon demi-frère, ce petit Rebel aux airs dur que j’avais toujours considéré comme un quelconque modèle… Il ne pouvait pas partir d’ici. C’était impossible, nous formions une famille après tout.

« Gomen. »

Je le regardai d’un regard interrogateur. Je ne voulais pas qu’il s’excuse, je ne voulais pas qu’il regrette ce qui avait pu se passer la veille. Je voulais qu’il reste, je voulais l’aimer. Je voulais être avec lui, peu importe de quelle façon. Je me précipitai vers lui, mes doigts s’entremêlant au haut de son t-shirt avec colère. Je ne me comprenais même plus. Cette nuit-là, je l’ai vu d’une autre façon, comme je n’aurais jamais imaginé. Il avait attendu ce moment depuis longtemps lui, je le sentais. Il avait tout changé en moi, en l’espace d’une nuit. Je ne voulais pas de Nao, je ne voulais rien savoir des autres filles de ma classe. Je ne voulais même plus voir ma mère et Rei. Puis, d’un coup, je le giflai. Et sans même lui donner la chance de réagir, je posai mes lèvres sur les siennes. Mon premier baiser complètement à jeun. Dans mon baiser, je sentis son rire étouffé. Il n’y avait rien de drôle, et je le lui fis remarquer avec une légère moue.

Je ne compris jamais ce qui avait pu le faire rire ce matin là. Peut-être mes réactions impulsives, ou autre chose… Mais de le laisser partie fut la chose la plus difficile que je n’ai jamais eut à faire. Il partirait chez sa mère, nous n’avions plus le droit de nous revoir. C’était bien ma mère ça, surprotectrice, elle croyait probablement bien faire. C’est ainsi que notre histoire d’à peine quelques heures se termina. Encore aujourd’hui, je n’arrive pas à l’expliquer, tant de sentiments et d’émotions en un si cours laps de temps… Je ne savais pas si je le reverrais un jour, mais je n’en passais pas un seul sans penser à lui. D’ailleurs j’avais changé, j’avais acquéri une certaine maturité. Je n’avais plus une aussi bonne relation avec ma mère, ni avec Rei. L’année de mes 16 ans, je me concentrai sur la photographie, un passe-temps que j’avais développé pour m’occuper l’esprit. J’y développai même une certaine passion. Voilà un an que je n’avais pas eut de nouvel de Toma, on évitait sagement de prononcer son nom en ma présence. Seulement, un soir, à table, j’appris qu’il entrerait à Kinosei Art, cette école d’art très réputé. Je n’étais pas surpris, il était si doué lorsqu’il jouait de la guitare ou du violon, il avait un talent.

Ce soir là, je récoltai quelques informations sur cette école sur internet. Lorsque je vis leur section photographie, je sentis mon cœur battre à la chamade. C’était le temps ou jamais, j’entrerais à cette école. Ce que je fis d’ailleurs, contre la volonté de ma mère et Rei. Mais il n’y avait rien à faire, j’étais décidé. Je ne savais pas, si je le retrouvais, comme les choses se passeraient. Peut-être avait-il une petite amie ? Ou même un copain… Peut-être qu’il ne voudrait plus rien savoir de moi, qu’il ne voudrait plus être mon demi-frère. Je ne savais pas ! Mais je voulais le revoir, et c’est entre autre dans ce but que je vins à cette école.

{. Miroir mon beau miroir, dis moi qui est le plus beau

Description Physique :

Hoshi n'a pas un physique bien imposant. Son père était un homme fort, bien bâtit et très grand. Il aurait sans doute détester revoir son fils après tant d'années. Celui-ci hérita de la taille de sa mère, quoi qu'un peu plus grand que celle-ci, il n'atteignait pas encore le 1m70. Une gros complexe pour lui. Pareille pour son poids. Il n'a jamais été bien corpulent, mais depuis ses 16 ans, il a encore plus maigrit. Oh, il n'est pas maigre, seulement mince. Et même ,on devine encore une fine musculature chez lui. Après tout, à défaut d'avoir un corps à tout casser, Hoshi a toujours tenu à coeur sa virilité. Quoi que maintenant il n'est plus intéressé à impressionner les filles, il ne laisse pas ce côté de sa personalité de côté.

Les traits de son visages s'harmonisent plutôt bien. Il n'est pas une beauté fatale, mais il est mignon dans son genre.

Il a des lèvres plutôt pulpeuses, un nez typiquement japonais, et de grands yeux d'un marron profond légèrement en amande que sa soeur s'amusait souvent, lorsqu'il était plus jeune, à mettr en valeur par une fine ligne de eye liner et même un peu de mascara. Maintenant, il est hors de question pour lui de porter le moindre maquillage. Ses cheveux eux changent fréquemment de couleur. Parfois brun, roux, noir, blond, avec quelques mèches ici et là. Mi-long, il n'hésite pas à leur donner du volume avec du gel, un petit style host.

Style vestimentaire :

Le style vestimentaire de Hoshi varie selon ses humeurs. Rei possèdait un bon revenu, ce qui leur permettait de s'offrir de petits luxes tel que des vêtements de marque. Il avait d'ailleurs pris l'habitude d'aller faire les boutiques avec Toma qui partageait les mêmes gouts vestimentaires que lui. Un style décontracté, rien de bien extravagant, de bonnes marques. Hoshi a tout de même une préférence pour les accessoires comme les écharpes. Il n'est pas une fashion victim mais se plait bien à porter ce qui peut le mettre en valeur, d'autant plus qu'il en a toujours eut les moyens.

Personne sur l'avatar : Alice Nine - hiroto

{. Qui se cache derrière tout ça ?

Prénom/Pseudo : //
Age ://
Où as-tu connu le forum ? : Annuaire des forums.
Qu'est ce qui t'as poussé à t'inscrire ? : Probablement la qualité que semble posséder ce forum.
Un dernier mot pour finir ? : Tabarnack?

« Règlement lu & approuvé »

Maintenant que y a la lecture du règlement, c'est parfaiiit o.o n______n

Donc, ...

VALIDÉ ^w^
& Bon jeu.

Bienvenu à toi ^^ gomen pour my retard!

» Cigarettes perdues. [PV.Hoshi]
» Toma to Hoshi? [Prit]
» {Clope sur clope,et merde sur merde * [PV HOSHI]