A la recherche de tranquilité

Encore une journée venait de s'écouler, une journée chiante ou Aki devait supporter tout ces bavardages ennuyeux, que se soit dans les couloirs ou même dans les cours, déjà que les études ne plaisait pas du tout au jeune bassiste, mais si en plus il devait supporter une bande de gogols toujours en train de papoter, c'était vraiment la misére, il n'y a rien de plus horrible pour un type froid, associable et violent que de devoir supporter tout ça. Il avait vraiment du mal à rester calme quand il était en cours, mais il faisait beaucoup d'efforts parce que ça ne se fait pas de gueuler contre tout le monde en plein cours, il vaut mieux attendre que le cours se termine.

Quoi qu'il en soit, il était 17 heures, le jeune homme était rincé de cette journée durant laquelle il avait encaissé enormément de stress, de colère, d'ennui, de fatigue, maintenant il fallait qu'il se detende un peu, mais c'est pas facile de trouver quelque chose qui puisse detendre le jeune homme, enfin en cherchant bien on en trouve un peu : La musique, les mangas, les jeux vidéos. Il y'a donc très peu de choses qu'Aki apprécie.

Donc, après être remonter dans sa chambre pour troquer son uniforme scolaire contre un jean assez large noir et une chemise noire toute simple. Ceci fait il pris sa magnifique sacoche noire dans laquelle reposait le trésort le plus precieux que possédait le jeune homme, sans doute l'une des rares choses en ce monde cruel qui dans le coeur d'Aki avait une valeur inéstimable, une chose est sûr il tenait plus à sa basse qu'à son père, en même temps avec ce que ce dernier lui à fait c'est pas étonnant, on a pas idée de mettre son fils à la rue à cause de sa sexualité, à la rue c'est bien vite dit m'enfin bon, il l'a forcé à allez dans un internat, et il ne lui adresse plus la parole, quel comportement abjecte, c'est vraiment inacceptable de ne pas pouvoir accepter la différence des autres. Enfin, on va pas passer notre temps à plainde Aki, il y'a toujours plus malheureux que soit ... Mais Aki n'en a strictement rien à faire des autres alors ce genre de phrases débiles, vous pensez bien qu'il n'en crois pas un mot, au même titre que "aussi dure et la vie, elle est belle aussi" voilà une phrase que notre jeune bassiste ne peut vraiment pas supporter. La vie est loin d'être belle aux yeux d'Aki, au contraire, elle est bien pourrie, c'est limite s'il ne voit pas l'interet d'être vivant, une chance, l'idée du suicide ne lui ai jamais passé par la tête, quoi qu'en tant que fumeur, il devrait avoir conscience qu'il s'enfonce de lui même, peu à peu vers une mort certaine, au fond fumer est sans doute une forme de suicide.

Mais, je crois que je m'égard, revenons en à nos moutons, et surtout, à Aki! Le jeune homme pris donc sa basse puis il se dirigea vers la salle de musique, en esperant que celle ci soit vide, alors qu'il saisit la poignée de la porte de cette salle en question, une petite priére se fit dans la tête d'Aki, il abaissa la poignée, poussa la porte, puis il poussa un léger soupir de soulagement, il avait de la chance, la salle était deserte, aucun élève était resté après les cours pour jouer un peu de musique, et aucun interne n'avait eu l'idée de venir squatter la salle, à part Aki bien sûr, ce qui à son gout était vraiment bien. C'est pas facile tous les jours d'être associable, vous n'imaginez même pas l'angoisse que c'est quand on entre dans une piece et qu'on espére de tout son coeur être seul dans ce lieu, c'est limite s'il n'est pas agoraphobe le pt'it bassiste !

Une fois,seul, dans la salle il alla s'installer dans un coin, où il pouvait brancher sa basse à un ampli, puis il commença à jouer deux trois notes, ressentant du "bonheur", entre guillement parce qu'Aki ne ressent pas le bonheur de la même façon que les autres, être content pour Aki, c'est ne pas être énervé ou stressé pour quelqu'un d'autre.Aki jouait des notes plutôt douce, appréciant chaque son qui résonnait dans la piéce, toujours vide.

Il joua pendant au moin une heure, enchainant rythmes lents et rapides, il avait vraiment l'impression que le temps passé à une vitesse folle quand il jouait de la basse ou même quand il écoutait la musique, c'est sans doute cela que l'on apelle être passioné. Ca faisait donc une petite heure que le jeune homme jouait, la piéce était toujours vide, et il esperait qu'elle le reste encore longtemps ...